poeme
Il est des matins
Il est des matins où le ciel est enfin clair où la lumière irradie où l'air est pur et vif A l'horizon, des rêves prennent forme
Chant
Absence qui divise mes nuits je vais, hantée par ton chant Rivières s'ouvrent et barrières basculent Errance Panthère déliée par la sauvagerie
gris
Pluie dehors, pluie dedans Lente plongée dans le gris Nager sous l'eau Oppressée Où es-tu? Porte fermée Silence obligé juste crier
Course
à Anne Plaisir du skating, de glisser, de se sentir aller Filer, emportée par le mouvement et portée par le vent Fluidité, tout se lie et s'allie, le souffle me parcourt, Harmonie de la course, danse légère Sous le grand soleil, le ciel bleu pur Beauté...
Soleil noir
Aspérités de ce coeur, de ce centre, à l'épreuve de la solitude Rugosités Oiseau qui se cogne contre les parois et se blesse Déchirements, arrachements à ceux qui sont partis et s'éloignent Reste seul ce coeur, battant, souffrant, vibrant, murmure sourd...